Frère Christophe Lebreton, moine de Tibhirine De l'enfant bien-aimé à l'homme tout donné, de l'enfant bien-aimé à l'homme tout donné
EAN13
9782855895505
ISBN
978-2-85589-550-5
Éditeur
Bellefontaine 59
Date de publication
Collection
Spiritualité orientale
Nombre de pages
221
Dimensions
23,5 x 15,5 x 1,4 cm
Poids
365 g
Langue
français
Code dewey
271.125
Fiches UNIMARC
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Frère Christophe Lebreton, moine de Tibhirine De l'enfant bien-aimé à l'homme tout donné

de l'enfant bien-aimé à l'homme tout donné

De

Bellefontaine 59

Spiritualité orientale

Offres

Collection : Tibhirine P 1Parmi les Sept Martyrs de l'Atlas, frère Christophe Lebreton marque par la poésie qui caractérise son style. De la Savoie aux collines de l'Atlas, Marie-Dominique Minassian nous invite à la rencontre d'un homme, d'un moine, d'un prêtre. Profondément attaché au peuple algérien, soucieux de son frère musulman et chantre du dialogue interreligieux, il ira, à l'instar de ses frères trappistes, jusqu'au bout, non pas du sacrifice mais du don de soi dans l'amour de l'Autre. Don d'une vie, don d'une vocation à Dieu et à l'homme. Au fil des pages, on partagera le parcours parfois difficile de ce moine de Tamié qui nouera son destin à celui de Notre-Dame de l'Atlas. Loin d'être un récit simplement biographique ou historique, cet ouvrage nous incitera à entrer, par le biais de nombreux recours à la correspondance inédite de frère Christophe, dans sa spiritualité et sa théologie un cheminement intérieur d'un bien-aimé qui s'est tout donné. « Le Don invente le chemin pour celui qui s'avance dans la foi et laisse son désir correspondre à l'Amour-Don... Ce chemin mène au pied de la Croix, l'arbre de la connaissance où [les chrétiens] apprennent que Dieu est amour" (1 Jn 4,8), lieu de naissance de l'Église et du disciple johannique, proche de Marie. Cette croix va constituer le paradigme existentiel qui va s'imprimer jusque dans son écriture poétique, bouleversée en sa ponctuation par le point positionné dans la croix. Christophe vit intensément de cette parole reçue un jour de Pierre Faye, son père maître à Tibhirine : "La plus belle prière que Jésus nous ait laissée c'est la Croix où il donne sa vie en salut pour la multitude" » [extrait de l'Introduction]."
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