- EAN13
- 9782711619092
- ISBN
- 978-2-7116-1909-2
- Éditeur
- Vrin
- Date de publication
- 02/05/2007
- Collection
- ART ET PHILO
- Nombre de pages
- 480
- Dimensions
- 21 x 15,5 x 3 cm
- Poids
- 620 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 750
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
L'œil-cerveau
Nouvelles histoires de la peinture moderne
De Éric Alliez
Autres contributions de Jean-Clet Martin
Vrin
Art Et Philo
Offres
Ce livre a pour ambition de mettre au jour la pensée à l’œuvre dans la peinture moderne en replaçant au cœur de la recherche la notion d’hallucination, notion centrale s’il en est pour le XIXe siècle qui associe la création artistique aux études « psychophysiologiques ».
Au plus près des œuvres et des énoncés constituant aussi bien la peinture moderne que l’idée moderne de l’art, entre Delacroix et Cézanne, avec Manet, Seurat et Gauguin, on suivra les mutations auxquelles donne lieu le rapport entre l’Œil et le Cerveau avec la dénaturalisation et la cérébralisation de l’Œil engagé dans « l’hallucination vraie » du monde en son devenir-moderne. Porteur d’un nouveau régime de visibilité qui désoriente le système général des évidences sensibles et de leurs inscriptions discursives, l’Œil-Cerveau projette dans la puissance hallucinatoire de la peinture les conditions de réalité d’une modernité irréductible aux notions philosophiquement communes de sujet et d’objet.
En ce mouvement de transformation du régime esthétique de l’art vers une esthétique de l’hétérogénéité, les questions liées à la couleur – depuis la Théorie des couleurs goethéenne, à l’exposé de laquelle est consacré le premier chapitre – ont constitué un horizon permanent d’interrogation.
Au plus près des œuvres et des énoncés constituant aussi bien la peinture moderne que l’idée moderne de l’art, entre Delacroix et Cézanne, avec Manet, Seurat et Gauguin, on suivra les mutations auxquelles donne lieu le rapport entre l’Œil et le Cerveau avec la dénaturalisation et la cérébralisation de l’Œil engagé dans « l’hallucination vraie » du monde en son devenir-moderne. Porteur d’un nouveau régime de visibilité qui désoriente le système général des évidences sensibles et de leurs inscriptions discursives, l’Œil-Cerveau projette dans la puissance hallucinatoire de la peinture les conditions de réalité d’une modernité irréductible aux notions philosophiquement communes de sujet et d’objet.
En ce mouvement de transformation du régime esthétique de l’art vers une esthétique de l’hétérogénéité, les questions liées à la couleur – depuis la Théorie des couleurs goethéenne, à l’exposé de laquelle est consacré le premier chapitre – ont constitué un horizon permanent d’interrogation.
S'identifier pour envoyer des commentaires.
Autres contributions de...
-
Faut-il brûler les postmodernes ?, En entretien avec jean-philippe cazierJean-Philippe Cazier, Jean-Clet MartinKimé19,00