Vera

Karl Geary

Rivages

  • Conseillé par (Libraire)
    17 décembre 2017

    Un roman irlandais très bien écrit et quelque peu déroutant.
    Suivez Sonny dans sa quête de l'amour où une découverte dévastatrice peut tout chambouler.
    Andrea, 16 ans


  • Conseillé par
    25 octobre 2017

    amour, Irlande

    Un amour qui aurait dû être impossible entre un jeune homme et une femme mûre.

    Entre un jeune homme pauvre qui compte chaque penny et une femme de la bourgeoisie.

    Entre un jeune homme à l’avenir devant lui et une femme cloîtrée dans son passé tragique.

    J’ai aimé que Sonny découvre la littérature chez Vera par hasard. Qu’il se rende au Musée parce qu’elle y travaillait.

    J’ai moins aimé les trop longues descriptions des silences familiaux.

    J’ai aimé les pages d’amour entre Sonny et Vera.

    Toutefois, j’ai vraiment regretté que cette histoire d’amour centrale dans le roman ne commence réellement qu’au 3/4 du livre. Même si il faut mettre le cadre en place, j’ai trouvé cette exposition trop longue.

    Et puis le style ne m’a pas permis de rentrer pleinement dans le roman : l’auteur utilise le « tu » pour parler de Sonny. Et cela a plutôt joué comme un repoussoir.

    L’image que je retiendrai :

    Celle de Sharron, l’amie de Sonny qu’il retrouve tous les jours assise sur sa pierre préférée.

    http://alexmotamots.fr/vera-karl-geary/


  • Conseillé par
    16 septembre 2017

    Une histoire irlandaise

    A seize ans, Sonny est le seul de la famille à aller encore au lycée. Un enfant qui étudie, c’est un enfant qui ne rapporte pas d’argent à la maison, une bouche de plus à nourrir. Ses frères qui, eux, triment toute la journée sont jaloux, sa mère ne cesse de passer sur lui ses nerfs bien éprouvés, et son père grille en paris, le vendredi soir, le peu d’argent qu’il a gagné la semaine. Isolé au milieu des siens, isolé aussi au sein de l’école où, boursier, il est plus pauvre que tout le monde, il se rebelle et finit par se faire renvoyer. Son destin semble tout tracé : le boucher du quartier, en bien mauvaise posture lui aussi à cause de la grande surface installée à une encablure, va le prendre comme un apprenti.

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