- par Athenaeum Beaune -. (Libraire)11 février 2021
Conseillé par Fatima
Au détour d’un séminaire littéraire à Tokyo, Eduardo Halfon s’amuse des multiples nationalités que lui donnent ses lecteurs. Il nous dévoile avec finesse le métier d’écrivain.
Nous sommes au Guatemala et Eduardo Halfon brode ses souvenirs pour nous présenter sa famille, et plus particulièrement son grand-père enlevé en 1967. Nous explorons les difficultés politiques de ce pays en proie à de nombreux et différents guérilleros dont miss Guatemala 1958 « Rogelia Cruz » ... et Canciòn, boucher de profession et ravisseur du grand-père de l’écrivain. Un très beau récit sur l’identité et l’héritage. - par Comme Un Roman C. (Libraire)21 janvier 2021
Sommé d'évoquer ses origines libanaises lors d'un événement littéraire, l'auteur se replonge dans ses souvenirs : qui était ce mystérieux grand-père libanais, qui fut enlevé par une guérilla durant la guerre civile au Guatemala en 1967 ?
C'est tout le passé de sa famille juive, libanaise et guatémaltèque qu'Eduardo Halfon nous fait revivre dans un récit aussi mélancolique que poétique sur la filiation.
BOULEVERSANT ! - par Librairie L. (Libraire)20 janvier 2021
Eduardo Halfon poursuit son cycle autobiographique pour parler cette fois de son grand-père, ses racines orientales, son enlèvement au cours de la guerre civile. Et c'est toute l'Histoire du XXème siècle au Guatemala que l'on traverse avec lui.