- EAN13
- 9782809841695
- Éditeur
- Archipel
- Date de publication
- 15/04/2021
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
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Papier - Archipel 20,00
" Loin de la légende, écrit Jean Tulard, Alain Frerejean nous offre un tableau
complet de cette confrontation entre le conquérant et la mort, des tendances
suicidaires de sa jeunesse, loin de sa Corse natale, aux derniers jours d'une
lente agonie. "
Plus de trente fois, il a frôlé la mort. Toujours il lui a échappé.
Les obus et les balles de l'ennemi, le poignard des assassins, les machines
infernales des comploteurs, la noyade, la chute dans les précipices, la chasse
à l'homme, le poison qu'il s'est lui-même versé, les duels de sa jeunesse... À
se demander ce qui l'a sauvé. À moins que la Providence s'en soit mêlée...
mais l'Empereur croyait-il en Dieu ? ou à sa bonne étoile ?
À l'évidence, Napoléon fut un chevalier sans peur. Mais combien de millions
d'hommes a-t-il envoyés au trépas, sans plus de haine que de remords ? Que
ressentait-il quand il arpentait le champ de bataille, entendant le cri des
mourants : " Vive l'Empereur ! " Et comment expliquer qu'après avoir vainement
cherché la mort à Arcis-sur-Aube, à Montereau, à Fontainebleau, à Waterloo, il
n'ait pas cherché à la devancer à Sainte-Hélène ?
complet de cette confrontation entre le conquérant et la mort, des tendances
suicidaires de sa jeunesse, loin de sa Corse natale, aux derniers jours d'une
lente agonie. "
Plus de trente fois, il a frôlé la mort. Toujours il lui a échappé.
Les obus et les balles de l'ennemi, le poignard des assassins, les machines
infernales des comploteurs, la noyade, la chute dans les précipices, la chasse
à l'homme, le poison qu'il s'est lui-même versé, les duels de sa jeunesse... À
se demander ce qui l'a sauvé. À moins que la Providence s'en soit mêlée...
mais l'Empereur croyait-il en Dieu ? ou à sa bonne étoile ?
À l'évidence, Napoléon fut un chevalier sans peur. Mais combien de millions
d'hommes a-t-il envoyés au trépas, sans plus de haine que de remords ? Que
ressentait-il quand il arpentait le champ de bataille, entendant le cri des
mourants : " Vive l'Empereur ! " Et comment expliquer qu'après avoir vainement
cherché la mort à Arcis-sur-Aube, à Montereau, à Fontainebleau, à Waterloo, il
n'ait pas cherché à la devancer à Sainte-Hélène ?
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