- EAN13
- 9782493182012
- ISBN
- 978-2-493-18201-2
- Éditeur
- RUMEURS
- Date de publication
- 30/06/2022
- Collection
- RUMEURS LITTERA
- Nombre de pages
- 128
- Dimensions
- 19,2 x 14,1 x 1 cm
- Poids
- 173 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Offres
Inspiré de situations historiques européennes réelles, ce nouveau roman de Louise L. Lambrichs écrit l’histoire d’invisibles sans voix, rescapés discrets des horreurs de la grande Histoire, de ceux que l’on croise tous les jours sans savoir à quel point les événements historiques les ont définitivement marqués et continuent secrètement de les hanter.
Un roman d’amour sans étiquettes ni frontières et de fidélités, un roman inquiet propre à donner à rêver, à penser.
(extrait) : « Tu m’avais bien promis, pourtant. La voix baisse encore, chargée d’amour déçu s’éraille. Marko fronce le sourcil, son regard un instant vacille puis s’accroche vaille que vaille aux objets, au tablier taché qui efface la taille épaisse de Mady, à la table maculée de traces innommables, à la robe mouchetée de Bouloum assis sur l’appui de la fenêtre, à l’ampoule nue, au plafond, qui luit faiblement mais troue la nuit, tout de même. – C’est la guerre, Mady. Tu dois comprendre cela, c’est la guerre. Marko dans un souffle a murmuré. Ces mots qui depuis des jours des mois le hantent habitent ses nuits sans passer ses lèvres, il n’osait les dire et voilà qu’ils sont tombés entre eux comme une pierre, le prenant lui-même au dépourvu. Et maintenant, la guerre est vraiment là. »
Un roman d’amour sans étiquettes ni frontières et de fidélités, un roman inquiet propre à donner à rêver, à penser.
(extrait) : « Tu m’avais bien promis, pourtant. La voix baisse encore, chargée d’amour déçu s’éraille. Marko fronce le sourcil, son regard un instant vacille puis s’accroche vaille que vaille aux objets, au tablier taché qui efface la taille épaisse de Mady, à la table maculée de traces innommables, à la robe mouchetée de Bouloum assis sur l’appui de la fenêtre, à l’ampoule nue, au plafond, qui luit faiblement mais troue la nuit, tout de même. – C’est la guerre, Mady. Tu dois comprendre cela, c’est la guerre. Marko dans un souffle a murmuré. Ces mots qui depuis des jours des mois le hantent habitent ses nuits sans passer ses lèvres, il n’osait les dire et voilà qu’ils sont tombés entre eux comme une pierre, le prenant lui-même au dépourvu. Et maintenant, la guerre est vraiment là. »
S'identifier pour envoyer des commentaires.