- EAN13
- 9782841007547
- ISBN
- 978-2-84100-754-7
- Éditeur
- Bartillat
- Date de publication
- 06/2023
- Collection
- Littérature (1)
- Nombre de pages
- 310
- Dimensions
- 20,7 x 14,2 x 2,7 cm
- Poids
- 384 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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De Maxime Gorki
Traduit par Dumesnil de Gramont
Préface de Dominique Fernandez
Bartillat
Littérature
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• Un chef-d'œuvre de la littérature russe. • Titre longtemps indisponible. • Préface de Dominique Fernandez, de l'Académie française, grand spécialiste de littérature soviétique.
Cette œuvre fut publiée en Russie en 1923. Il s'agit de ses souvenirs d'étudiant de Maxime Gorki. Arrivé à Kazan à 17 ans pour suivre les cours de l'université, le jeune homme, pour ne pas mourir de faim, doit travailler sur les bords de la Volga, parmi les débardeurs et les va-nu-pieds dont il partage vite les rancœurs, l'esprit d'hostilité à l'égard du monde entier : " J'aimais leur rancune envers la vie, leur attitude hostile et railleuse, insouciante vis-à-vis d'eux-mêmes. Tout ce que j'avais vécu par moi-même m'attirait vers ces gens et me donnait le désir de me plonger dans leur milieu corrosif. " Il devient ensuite garçon boulanger, mais fréquente aussi les étudiants, participe à leurs réunions clandestines où l'on s'initie aux livres révolutionnaires interdits par la police. Gorki poursuit alors sa formation à travers de nombreuses lectures et avance dans sa formation. Il devient alors politiquement suspect et se voit contraint de changer à plusieurs reprises de résidence. Il échappe de peu à la déportation. Ses premières nouvelles sont publiées, il rencontre ses premiers succès. Comme toutes ses œuvres autobiographiques, on trouve un Gorki dans sa vérité et qui touche par la sincérité de son récit.
Cette œuvre fut publiée en Russie en 1923. Il s'agit de ses souvenirs d'étudiant de Maxime Gorki. Arrivé à Kazan à 17 ans pour suivre les cours de l'université, le jeune homme, pour ne pas mourir de faim, doit travailler sur les bords de la Volga, parmi les débardeurs et les va-nu-pieds dont il partage vite les rancœurs, l'esprit d'hostilité à l'égard du monde entier : " J'aimais leur rancune envers la vie, leur attitude hostile et railleuse, insouciante vis-à-vis d'eux-mêmes. Tout ce que j'avais vécu par moi-même m'attirait vers ces gens et me donnait le désir de me plonger dans leur milieu corrosif. " Il devient ensuite garçon boulanger, mais fréquente aussi les étudiants, participe à leurs réunions clandestines où l'on s'initie aux livres révolutionnaires interdits par la police. Gorki poursuit alors sa formation à travers de nombreuses lectures et avance dans sa formation. Il devient alors politiquement suspect et se voit contraint de changer à plusieurs reprises de résidence. Il échappe de peu à la déportation. Ses premières nouvelles sont publiées, il rencontre ses premiers succès. Comme toutes ses œuvres autobiographiques, on trouve un Gorki dans sa vérité et qui touche par la sincérité de son récit.
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