- EAN13
- 9782221280010
- ISBN
- 978-2-221-28001-0
- Éditeur
- Robert Laffont
- Date de publication
- 30/01/2025
- Collection
- Pavillons Poche
- Nombre de pages
- 160
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Vingt-quatre heures de la vie d'une femme - collector
De Stefan Zweig
Traduit par Françoise Wuilmart
Préface de Éric-Emmanuel Schmitt
Robert Laffont
Pavillons Poche
Le roman culte de Stefan Zweig, considéré comme un chef-d'œuvre par Freud, en édition collector. Couverture illustrée par Pénélope Bagieu.
Un soir d'été, dans un hôtel de Monte-Carlo, une femme quitte mari et enfants pour s'enfuir avec un beau et jeune Français qu'elle venait de rencontrer la veille. L'événement met tous les pensionnaires en émoi, en dehors du narrateur, qui se lance dans un plaidoyer passionné en faveur de la démarche courageuse de cette femme qui n'a fait que suivre ses sentiments.Une discussion houleuse s'engage, qui ne s'apaise que grâce à l'intervention de Mrs. C, une veuve aristocrate écossaise, qui lui conte sa propre histoire. Les deux récits se croisent sur fond de valse viennoise, au milieu de la salle de jeux d'un casino auquel le jeune homme, objet des passions, est enchaîné.
-------------------------------
" Une passionnante exploration de nos violences, émois et tourments sentimentaux. " Télérama
" Zweig ne donne sa voix qu'aux vaincus, qu'aux fragiles, qu'aux blessés. Il ne traque jamais la grandeur. Surpris, divisés, inquiets, ses personnages s'écartent des héros : loin d'être extraordinaires, ils sont ordinaires ; au contraire des figures hugoliennes, ils n'incarnent pas "une force qui va', mais une faiblesse qui piétine... Qui, dans la littérature mondiale, a brossé des êtres plus proches de nous ? " Éric-Emmanuel Schmitt, extrait de la préface
Un soir d'été, dans un hôtel de Monte-Carlo, une femme quitte mari et enfants pour s'enfuir avec un beau et jeune Français qu'elle venait de rencontrer la veille. L'événement met tous les pensionnaires en émoi, en dehors du narrateur, qui se lance dans un plaidoyer passionné en faveur de la démarche courageuse de cette femme qui n'a fait que suivre ses sentiments.Une discussion houleuse s'engage, qui ne s'apaise que grâce à l'intervention de Mrs. C, une veuve aristocrate écossaise, qui lui conte sa propre histoire. Les deux récits se croisent sur fond de valse viennoise, au milieu de la salle de jeux d'un casino auquel le jeune homme, objet des passions, est enchaîné.
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" Une passionnante exploration de nos violences, émois et tourments sentimentaux. " Télérama
" Zweig ne donne sa voix qu'aux vaincus, qu'aux fragiles, qu'aux blessés. Il ne traque jamais la grandeur. Surpris, divisés, inquiets, ses personnages s'écartent des héros : loin d'être extraordinaires, ils sont ordinaires ; au contraire des figures hugoliennes, ils n'incarnent pas "une force qui va', mais une faiblesse qui piétine... Qui, dans la littérature mondiale, a brossé des êtres plus proches de nous ? " Éric-Emmanuel Schmitt, extrait de la préface
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