- EAN13
- 9782823600711
- ISBN
- 978-2-8236-0071-1
- Éditeur
- Éditions de L'Olivier
- Date de publication
- 21/08/2014
- Collection
- Littérature Française
- Nombre de pages
- 320
- Dimensions
- 20,6 x 14,1 x 2,1 cm
- Poids
- 348 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Jean, jeune sexagénaire, parisien et célibataire, perd son travail (un travail qui l’ennuyait beaucoup), rencontre une avocate pour porter l’affaire aux Prud’hommes, fait l’éprouvante expérience du Pôle emploi, et fréquente de plus en plus souvent L’Oiseau Bleu, un café où il a cru apercevoir un jour sa mère et le père qui l’a abandonné. Progressivement il se remet à fumer, il renoue aussi avec quelques amies perdues de vue et avec une passion qui fut une activité professionnelle des années plus tôt : la photographie.
En se plongeant dans ses archives photographiques Jean est amené à reconstituer sa vie – sa communauté amicale, ses époques, ses déambulations urbaines, ses regrets et ses espoirs ou l’inverse –, et même à la reconstruire.
Dominique Fabre, avec Photos volées, a écrit « son » grand roman, en poussant plus loin encore la sensibilité hors du commun qui caractérise son œuvre.
Il a publié douze romans, dont Moi aussi un jour, j’irai loin (Nadeau 1995) et Il faudrait s’arracher le cœur (L’Olivier 2012) pour ne citer que le premier et le dernier paru.
Jean, jeune sexagénaire, parisien et célibataire, perd son travail (un travail qui l’ennuyait beaucoup), rencontre une avocate pour porter l’affaire aux Prud’hommes, fait l’éprouvante expérience du Pôle emploi, et fréquente de plus en plus souvent L’Oiseau Bleu, un café où il a cru apercevoir un jour sa mère et le père qui l’a abandonné. Progressivement il se remet à fumer, il renoue aussi avec quelques amies perdues de vue et avec une passion qui fut une activité professionnelle des années plus tôt : la photographie.
En se plongeant dans ses archives photographiques Jean est amené à reconstituer sa vie – sa communauté amicale, ses époques, ses déambulations urbaines, ses regrets et ses espoirs ou l’inverse –, et même à la reconstruire.
Dominique Fabre, avec Photos volées, a écrit « son » grand roman, en poussant plus loin encore la sensibilité hors du commun qui caractérise son œuvre.
Il a publié douze romans, dont Moi aussi un jour, j’irai loin (Nadeau 1995) et Il faudrait s’arracher le cœur (L’Olivier 2012) pour ne citer que le premier et le dernier paru.
En se plongeant dans ses archives photographiques Jean est amené à reconstituer sa vie – sa communauté amicale, ses époques, ses déambulations urbaines, ses regrets et ses espoirs ou l’inverse –, et même à la reconstruire.
Dominique Fabre, avec Photos volées, a écrit « son » grand roman, en poussant plus loin encore la sensibilité hors du commun qui caractérise son œuvre.
Il a publié douze romans, dont Moi aussi un jour, j’irai loin (Nadeau 1995) et Il faudrait s’arracher le cœur (L’Olivier 2012) pour ne citer que le premier et le dernier paru.
Jean, jeune sexagénaire, parisien et célibataire, perd son travail (un travail qui l’ennuyait beaucoup), rencontre une avocate pour porter l’affaire aux Prud’hommes, fait l’éprouvante expérience du Pôle emploi, et fréquente de plus en plus souvent L’Oiseau Bleu, un café où il a cru apercevoir un jour sa mère et le père qui l’a abandonné. Progressivement il se remet à fumer, il renoue aussi avec quelques amies perdues de vue et avec une passion qui fut une activité professionnelle des années plus tôt : la photographie.
En se plongeant dans ses archives photographiques Jean est amené à reconstituer sa vie – sa communauté amicale, ses époques, ses déambulations urbaines, ses regrets et ses espoirs ou l’inverse –, et même à la reconstruire.
Dominique Fabre, avec Photos volées, a écrit « son » grand roman, en poussant plus loin encore la sensibilité hors du commun qui caractérise son œuvre.
Il a publié douze romans, dont Moi aussi un jour, j’irai loin (Nadeau 1995) et Il faudrait s’arracher le cœur (L’Olivier 2012) pour ne citer que le premier et le dernier paru.
Commentaires des lecteurs
Jean, le narrateur, vient de se faire licencier à 58 ans. Un peu perdu, il erre d'un point à un autre, se rend d'abord docilement au Pôle Emploi avant d'y renoncer, marche beaucoup dans son quartier et dans Paris, du ...
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