- EAN13
- 9782072445774
- Éditeur
- Gallimard
- Date de publication
- 09/2011
- Collection
- Folio
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
-
Papier - Folio 7,40
Pour évoquer la mémoire de l’écrivain Benjamin Lorca, deux amis, un frère et
une ex-compagne prennent successivement la parole. Quatre voix qui se
complètent ou se diffractent, à rebours des quinze années qui nous séparent de
sa mort tragique. La découverte d’un journal intime que le disparu a laissé
derrière lui ravive en eux la tentation de saisir enfin cet être si fuyant,
égaré, insaisissable. Les quatre narrateurs trouveront-ils une quelconque
révélation dans ces écrits jamais publiés? L’envers d’une personnalité, la
face cachée de Benjamin? Tous ne prendront pas la même décision – trahir ou
non cette intimité posthume… – mais chacun découvrira en chemin quelques
vérités sur lui-même, plus ou moins apaisantes. Avec ce septième roman, tout
en ellipse et non-dit, Arnaud Cathrine a su éviter les complaisances de la
noirceur. On y retrouve les nuances sensibles du mal d’être contemporain qui
habitait ses livres précédents, mais aussi les fragments d’un discours sur
toutes les formes d’amour, y compris le plus paradoxal, le désamour de soi.
une ex-compagne prennent successivement la parole. Quatre voix qui se
complètent ou se diffractent, à rebours des quinze années qui nous séparent de
sa mort tragique. La découverte d’un journal intime que le disparu a laissé
derrière lui ravive en eux la tentation de saisir enfin cet être si fuyant,
égaré, insaisissable. Les quatre narrateurs trouveront-ils une quelconque
révélation dans ces écrits jamais publiés? L’envers d’une personnalité, la
face cachée de Benjamin? Tous ne prendront pas la même décision – trahir ou
non cette intimité posthume… – mais chacun découvrira en chemin quelques
vérités sur lui-même, plus ou moins apaisantes. Avec ce septième roman, tout
en ellipse et non-dit, Arnaud Cathrine a su éviter les complaisances de la
noirceur. On y retrouve les nuances sensibles du mal d’être contemporain qui
habitait ses livres précédents, mais aussi les fragments d’un discours sur
toutes les formes d’amour, y compris le plus paradoxal, le désamour de soi.
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