- EAN13
- 9782080276568
- Éditeur
- Pygmalion
- Date de publication
- 11/2021
- Collection
- Grandes dames de l’Histoire
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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La Marquise des plaisirs. Madame de Pompadour
Michel de Decker
Pygmalion
Grandes dames de l’Histoire
Autre version disponible
-
Papier - Pygmalion 20,40
En passant la nuit avec Louis XV, le 28 février 1745, Jeanne-Antoinette
Poisson n’a qu’une idée en tête : devenir la favorite officielle du Roi. Elle
le restera pendant près de vingt ans, un record pour une maîtresse royale !
Harmonieuse, ambitieuse, raffinée et énergique, la nouvelle marquise de
Pompadour devient aussi l’amie, la confidente, la consolatrice, la thérapeute,
la raison de vivre du Bien-Aimé. Sans cette petite femme aux yeux gris-bleu –
son véritable ministre des beaux-arts et son éminence rose – ce dépressif
chronique aurait peut-être sombré dans une profonde mélancolie. Aurait-il fait
travailler les meilleurs architectes, peintres et sculpteurs du temps ?
Aurait-il toléré les philosophes et les pères de l’Encyclopédie ? Sa confiance
en elle sera telle qu’il en viendra presque à lui donner les pleins pouvoirs :
ainsi pourra-t-elle choisir les ministres, décider des orientations
diplomatiques du royaume – pas toujours habilement ! – et créer l’art de vivre
à la cour de Versailles. Quel superbe destin que celui de cette petite
roturière qui meurt à quarante-deux ans, tuberculeuse et épuisée de s’être
tant battue pour se maintenir aussi longtemps sur la première marche du trône
!
Poisson n’a qu’une idée en tête : devenir la favorite officielle du Roi. Elle
le restera pendant près de vingt ans, un record pour une maîtresse royale !
Harmonieuse, ambitieuse, raffinée et énergique, la nouvelle marquise de
Pompadour devient aussi l’amie, la confidente, la consolatrice, la thérapeute,
la raison de vivre du Bien-Aimé. Sans cette petite femme aux yeux gris-bleu –
son véritable ministre des beaux-arts et son éminence rose – ce dépressif
chronique aurait peut-être sombré dans une profonde mélancolie. Aurait-il fait
travailler les meilleurs architectes, peintres et sculpteurs du temps ?
Aurait-il toléré les philosophes et les pères de l’Encyclopédie ? Sa confiance
en elle sera telle qu’il en viendra presque à lui donner les pleins pouvoirs :
ainsi pourra-t-elle choisir les ministres, décider des orientations
diplomatiques du royaume – pas toujours habilement ! – et créer l’art de vivre
à la cour de Versailles. Quel superbe destin que celui de cette petite
roturière qui meurt à quarante-deux ans, tuberculeuse et épuisée de s’être
tant battue pour se maintenir aussi longtemps sur la première marche du trône
!
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