- EAN13
- 9782081260023
- Éditeur
- Flammarion
- Date de publication
- 16/03/2011
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Papier - Flammarion 8,00
Psychanalyste d'enfants aussi célèbre que controversée, Françoise Dolto fut
une clinicienne de génie. Si elle n'a pas fait école, elle a profondément
modifié l'image et la connaissance que l'on avait de l'enfant. La langue des
enfants ne s'écrit pas, celle de Dolto non plus. C'est sa parole qu'elle veut
faire entendre quand elle apprend aux adultes comment écouter le désir de
l'enfant. Bien que reconnue et souvent admirée par ses pairs, elle resta
isolée au sein du monde analytique. Souvent proche de Lacan, elle se situa
parfois aux antipodes de celui-ci. Pour approcher la singularité de Françoise
Dolto, Jean-François de Sauverzac parcourt et interroge une vie, une pratique
et une théorie étroitement mêlées: il évoque la jeunesse de Françoise Marette,
les événements qui décidèrent de sa vocation, et questionne les figures de la
psychanalyse - Laforgue, Morgenstern, Pichon - dont elle suivit
l'enseignement. Il met en relief les principales articulations de sa théorie,
en relation avec nombre de ses cas cliniques, sur lesquels elle lui a apporté
des éclaircissements; il rend compte aussi du personnage médiatique qu'elle
fut.
une clinicienne de génie. Si elle n'a pas fait école, elle a profondément
modifié l'image et la connaissance que l'on avait de l'enfant. La langue des
enfants ne s'écrit pas, celle de Dolto non plus. C'est sa parole qu'elle veut
faire entendre quand elle apprend aux adultes comment écouter le désir de
l'enfant. Bien que reconnue et souvent admirée par ses pairs, elle resta
isolée au sein du monde analytique. Souvent proche de Lacan, elle se situa
parfois aux antipodes de celui-ci. Pour approcher la singularité de Françoise
Dolto, Jean-François de Sauverzac parcourt et interroge une vie, une pratique
et une théorie étroitement mêlées: il évoque la jeunesse de Françoise Marette,
les événements qui décidèrent de sa vocation, et questionne les figures de la
psychanalyse - Laforgue, Morgenstern, Pichon - dont elle suivit
l'enseignement. Il met en relief les principales articulations de sa théorie,
en relation avec nombre de ses cas cliniques, sur lesquels elle lui a apporté
des éclaircissements; il rend compte aussi du personnage médiatique qu'elle
fut.
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