- EAN13
- 9782271117816
- Éditeur
- CNRS éditions
- Date de publication
- 07/12/2017
- Collection
- Histoire
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
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Papier - "CNRS Éditions" 27,00
Des premiers jours de la Grande Guerre aux lendemains du Traité de Versailles,
Étienne de Nalèche, le directeur du prestigieux Journal des Débats, écrit à
son ami et mécène,
l'industriel sucrier Pierre Lebaudy, engagé sur le front.
Des premiers jours de la Grande Guerre aux lendemains du Traité de Versailles,
Étienne de Nalèche, le directeur du prestigieux Journal des Débats, écrit à
son ami et mécène,
l'industriel sucrier Pierre Lebaudy, engagé sur le front. Non pour lui donner
de ses nouvelles (il ne parle jamais de lui), non pour lui demander de
l'argent pour son journal (en déficit chronique),
mais pour lui raconter la Grande Guerre vue de Paris.
Écrites à la manière d'une chronique, ces lettres relatent les dîners mondains
auxquels participe Nalèche, ses rencontres avec les membres de l'état-major,
les ambassadeurs, les députés,
les hommes d'affaires, les académiciens. Anecdotes croustillantes et humour
fin allègent la tonalité de cette correspondance aux sujets sérieux :
politique intérieure, Parlement, composition
des gouvernements, évolution du front, situation économique...
Ces missives témoignent de la vision d'un homme situé au coeur des réseaux de
pouvoir, particulièrement bien informé, lucide sur le basculement de
civilisation en train de se produire sous l'effet de la guerre civile
européenne.
Étienne de Nalèche, le directeur du prestigieux Journal des Débats, écrit à
son ami et mécène,
l'industriel sucrier Pierre Lebaudy, engagé sur le front.
Des premiers jours de la Grande Guerre aux lendemains du Traité de Versailles,
Étienne de Nalèche, le directeur du prestigieux Journal des Débats, écrit à
son ami et mécène,
l'industriel sucrier Pierre Lebaudy, engagé sur le front. Non pour lui donner
de ses nouvelles (il ne parle jamais de lui), non pour lui demander de
l'argent pour son journal (en déficit chronique),
mais pour lui raconter la Grande Guerre vue de Paris.
Écrites à la manière d'une chronique, ces lettres relatent les dîners mondains
auxquels participe Nalèche, ses rencontres avec les membres de l'état-major,
les ambassadeurs, les députés,
les hommes d'affaires, les académiciens. Anecdotes croustillantes et humour
fin allègent la tonalité de cette correspondance aux sujets sérieux :
politique intérieure, Parlement, composition
des gouvernements, évolution du front, situation économique...
Ces missives témoignent de la vision d'un homme situé au coeur des réseaux de
pouvoir, particulièrement bien informé, lucide sur le basculement de
civilisation en train de se produire sous l'effet de la guerre civile
européenne.
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