- EAN13
- 9782742726080
- ISBN
- 978-2-7427-2608-0
- Éditeur
- Actes Sud
- Date de publication
- 29/02/2000
- Collection
- LITTERATURE POR
- Nombre de pages
- 496
- Dimensions
- 21,7 x 11,5 x 2,5 cm
- Poids
- 505 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- portugais
- Code dewey
- 850
- Fiches UNIMARC
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Dans leur cénacle enfumé, les étudiants de Coimbra refont le monde : un monde gouverné par les caprices de la beauté et l'aristocratie de l'intelligence. Le jeune Artur, pâle et anémique dans la grande tradition des romantiques, s'exalte pour des théories et des attitudes toutes littéraires.
A la mort de ses parents, il est recueilli par deux vieilles tantes dans quelque bourgade retirée où l'on n'entend rien à l'élévation spirituelle de sa mélancolie. A la pharmacie où il est contraint d'officier, il tombe des hautes sphères poétiques dans les mortiers où se concoctent les pastilles pectorales. Mais un héritage vient donner corps à tous ses rêves et lui permet enfin de gagner la capitale : à nous deux Lisbonne !
Las, Lisbonne, où il pensait trouver la juste reconnaissance de son talent, les soupirs au clair de lune, la démocratie lyrique, les bruissements dans les boudoirs, se révèle une perfide Babylone, fatale à notre ingénu qui y perdra quelques plumes et beaucoup d'illusions.
Ces «Illusions perdues» portugaises placent Eça de Queirós parmi les grands classiques du XIXe siècle, au côté d'Honoré de Balzac.
A la mort de ses parents, il est recueilli par deux vieilles tantes dans quelque bourgade retirée où l'on n'entend rien à l'élévation spirituelle de sa mélancolie. A la pharmacie où il est contraint d'officier, il tombe des hautes sphères poétiques dans les mortiers où se concoctent les pastilles pectorales. Mais un héritage vient donner corps à tous ses rêves et lui permet enfin de gagner la capitale : à nous deux Lisbonne !
Las, Lisbonne, où il pensait trouver la juste reconnaissance de son talent, les soupirs au clair de lune, la démocratie lyrique, les bruissements dans les boudoirs, se révèle une perfide Babylone, fatale à notre ingénu qui y perdra quelques plumes et beaucoup d'illusions.
Ces «Illusions perdues» portugaises placent Eça de Queirós parmi les grands classiques du XIXe siècle, au côté d'Honoré de Balzac.
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